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Olivier Piriou, Responsable des Ventes de la région Nord-Normandie

Nous avons réalisé pour vous l’interview d’Olivier Piriou, Responsable des Ventes de la région Nord-Normandie chez Hauraton. Cet ancien indépendant nous a expliqué l’importance de sa philosophie d’autonomie dans le travail et ce qu’elle lui apporte au quotidien dans ses échanges avec les clients.

Quand avez-vous rejoint HAURATON ? Pourquoi avoir choisi cette entreprise ?

Au mois de mai 2020 ça a fait dix ans que j’ai rejoint HAURATON. Et si j’ai choisi cette entreprise, c’est parce qu’elle me proposait une vision qui allait parfaitement avec mon éthique et mes valeurs de travail.
Avant d’être indépendant, j’étais déjà salarié dans le domaine du BTP, c’est un secteur que j’ai toujours trouvé très humain. Puis j’ai goûté aux joies de l’indépendance, dans le secteur automobile pendant plusieurs années. J’avais un vrai besoin d’avoir les coudées franches dans mon travail. Et c’est justement ce que j’ai retrouvé chez HAURATON avec des missions à responsabilités sur lesquelles j’étais libre de choisir ma méthodologie.
HAURATON m’a donc laissé une totale liberté dans la stratégie commerciale sur l’ensemble de mon secteur, je dois rendre des comptes mais mes supérieurs me font confiance. Je peux vraiment apporter ma vision dans tous mes projets. C’était clairement la meilleure proposition qu’on pouvait me faire !

En tant que Responsable des Ventes de la région Nord-Normandie, quelles sont vos missions au quotidien ?

Mes missions se décomposent en deux volets : D’abord, la gestion des demandes diverses et le suivi des affaires. Pour le travail quotidien, j’essaie de mettre en place des journées type, avec une organisation administrative fixe, la prise de trois à quatre rendez-vous quotidiens avec des clients ou des prospects, puis des tâches administratives diverses.

Ensuite, vient la partie fluctuante, je m’attache à suivre les dossiers en coursvérifier le déroulement des affaires et relancer les offres de prix qui restent en attente. Sans compter la réponse aux demandes spontanées qui peuvent arriver à n’importe quel moment et sur lesquelles nous devons être très réactifs en tant qu’équipe, ce qui fait notre force. C’est d’ailleurs pour cela que nous nous limitons dans mon équipe à ne prendre que trois ou quatre rendez-vous quotidiens. C’est une structure qui nous permet de rester adaptables aux demandes urgentes et flexibles concernant les projets en cours.

Qu’est-ce qui vous passionne dans votre métier ?

C’est l’enjeu qui me plaît. J’aime quand il faut construire une proposition de A à Z pour remporter une affaire. La meilleure partie c’est quand l’équipe mutualise ses compétences pour affûter des arguments en interne avec les ingénieurs d’affaires pour préparer les dossiers.

L’autre point qui me passionne c’est d’échanger directement avec le client pour proposer ensuite une solution technique. Surtout lors de la prospection, des premiers rendez-vous quand on essaye de comprendre les problèmes d’un futur client pour lui présenter une réponse sur-mesure, c’est ce qui me donne le plus envie de m’investir dans mon travail.

Quelle est votre philosophie de travail ?

J’aime prendre les choses en mains, qu’on me confie un challenge et qu’on me laisse une certaine autonomie dans la manière de le résoudre. Si on me donne une mission je la prends toujours à bras le corps. En tant que commercial c’est ma responsabilité que les tâches et les objectifs de chacun des membres de l’équipe soient bien clairs, que tous aient une bonne compréhension de leur rôle.

Je pense que quand on me confie une tâche c’est à moi de la structurer. On doit pouvoir rendre des comptes, bien sûr, mais on doit aussi apporter notre touche personnelle en fonction de nos goûts et compétences.

Quelles sont les valeurs qui vous tiennent à cœur ?

L’honnêteté et le sens des responsabilités.

Pouvez-vous présenter votre équipe ?

Je travaille principalement avec deux personnes : Ma binôme Valérie Letscher, commerciale sédentaire sur la totalité du secteur. Nous sommes encore en phase de découverte puisque c’est une affectation récente pour elle qui est là depuis bientôt un an.

J’échange aussi souvent avec Laurent Ney et Alexis Muller, l’ingénieur d’affaires de mon secteur, avec qui je partage beaucoup lorsqu’on traite de gros dossiers et qui a toujours quelque chose de constructif à apporter.

Je tiens aussi à mentionner mon ancienne binôme qui a eu l’opportunité de changer de région vers le Rhône-Alpes l’an dernier et avec qui je reste en contact : Virginie Philips a encore plus d’antériorité que moi chez HAURATON et j’ai fait tout mon parcours avec elle.

Quels sont les chantiers ou défis dont vous tirez le plus de fierté ? Pourquoi ?

Le terminal Méthanier de Dunkerque, c’est un chantier qui me tient particulièrement à cœur parce qu’il réunit tout ce que je vous ai dit avant. C’est aussi une fierté personnelle parce que j’ai été le chercher et qu’il y a eu un gros travail de préparation du dossier avec le bureau d’étude.

Le deuxième chantier qui m’a particulièrement marqué c’est le grand stade de Lille, il est spécial parce qu’il a recoupé beaucoup de chantiers au long cours et un grand nombre de réunions qui regroupaient un grand nombre de corps de métiers différents et diversifiés. C’était un travail très enrichissant.

Comment envisagez-vous l’évolution de votre métier ?

C’est une question complexe, pour moi c’est un métier qui va beaucoup évoluer dans les années à venir. Les nouvelles technologies vont prendre une part de plus en plus importante, surtout dans le travail quotidien et la communication : on va gagner en rapidité et limiter les déplacements et il nous faudra faire attention à préserver le contact humain, très important dans le domaine du BTP et qui est une des forces que nous souhaitons préserver chez HAURATON. Je suis certain qu’on arrivera à utiliser ces nouveaux outils sans perdre cet aspect-là de vue.

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